Un moment de grâce à ne surtout pas manquer pour passer du clair-obscur caravagesque et intimiste de la « Madeleine en extase » de Louis Finson à la grande machine baroque du « Ravissement de Sainte Marie-Madeleine » de Philippe de Champaigne. Mais attention : la repentance a ses limites !
Le programme se terminera avec la piquante favorite de Louis XV, la divine « Duchesse de Châteauroux », que le délicat pinceau de Jean-Marc Nattier a représenté en Point du Jour... comme le lever du jour sur le siècle du Libertinage. L'accompagnement musical ? Du Frescobaldi, du Marc-Antoine Charpentier et du François Couperin, pas moins.