L’année 69 fut non seulement érotique mais aussi astronautique et électronique. Fin juillet, le monde entier a le regard vissé à son téléviseur : pour la première fois, un homme va poser le pied sur la Lune. Au même moment apparaissent sur le marché deux synthétiseurs qui marqueront le son des années 60-70.
Avec sa capacité à transformer l’électricité en sons, le synthétiseur offre un nouvel outil de création et c’est tout un imaginaire « cosmique » qui entre dans la musique. Le spectacle s’offre comme la bande musicale imaginaire de la Mission Apollo 11 : un voyage sonore et poétique pour musiciens, circassien, machines et voix humaines.