Environ une vingtaine de tableaux magiques, un nombre impressionnant de vidéos, des artistes de talent sur scène pour remonter aux sources de la culture irlandaise. Une fresque enlevée où se mêlent jeunes et moins jeunes et où le moderne et l’ancien se conjuguent harmonieusement. Deux heures de danses effrénées, de musiques entraînantes aux résonances celtiques, mais pas seulement. L’émotion, la poésie et l’humour « made in Ireland » s’invitent sur scène comme « Et l’on n’y peut rien » la chanson de Jean-Jacques Goldman, revisitée et rebaptisée « Generations ».