« Frédéric Viale a l’âme et les lames latines. Les racines de son ciel sont semblables à celles d’un pin maritime qui, depuis le midi de la France, pousserait ses racines vers des horizons ultramarins, comme ceux de l’Argentine ou du Brésil. Si le souvenir du grand Eddy Louiss y est roi, la mélodie est toujours reine.
Dans ses compositions, portées par une section rythmique gorgée de vie et de musique, son accordéon promène son chant entre boléros, sambas et valses musette. Et, si son ciel, couleur salsa y sabor, se teinte parfois de saudade ou de spleen, la musique invite toujours aux agapes et à la danse. » Daniel Goyone.