Dans un atelier peu commun, une artiste, dans ses déplacements, s’amuse ou bien se surprend à raconter l’histoire d’un personnage qui semble être immobile, un personnage en quête de rêves et de voyages.
C’est l’histoire d’un épouvantail qui n’a pas de pieds mais qui sait très bien aimer et regarder…. D’après «Le journal de Lulu», d’Eric Rolland Bellagamba, entre arts plastiques et manipulations sur des airs de tango, ce spectacle raconte au public que la différence de l’un peut devenir une danse improvisée dans l’imaginaire des autres.
A la Salle Mistral.