Ils expriment avec puissance et délicatesse le lyrisme si particulier du compositeur, mélange de candeur et de vision sombre sur le thème de la mort consolatrice. La chorégraphie reflète l’univers de cette musique, berceuse à la mort accueillante, mais traduit aussi le fol espoir de vivre et de résister à l’inéluctable.
Une danseuse incarne la jeune fille alors que les huit autres danseurs représentent la mort, illustrant le poème de Matthias Claudius que Franz Schubert met en musique dans ce quatuor.