Chacune des quatre pièces, conçue de manière indépendante, forme une œuvre cohérente composée de paysages changeants, comme pour un album de chansons qui s’écoute de bout en bout. Et si Emanuel Gat nous a habitué à des pièces de groupe, quand il créé un duo, il est littéralement époustouflant. C’est l’occasion pour lui de se concentrer sur un retour à l’essentiel, aux bases du langage chorégraphique, à l’essence du mouvement. Une création rare à savourer.