Après avoir fait sensation à plusieurs reprises au Festival d’Aix, le chef britannique revient avec le brillant Orchestre de Paris à la tête duquel il vient d’être nommé directeur musical. Outre les deux Suites stravinskiennes pour petit orchestre d’inspirations folklorique et circassienne, ce concert est l’occasion de redécouvrir tant la Quatrième de Beethoven que la Troisième de Schubert. Ces symphonies sont autant de témoignages de l’originalité et de la finesse de deux géants de la musique aux portes du Romantisme.