Elles sortent des schémas classiques de cette discipline et emmènent le public sur des chemins de traverse. Suzel Barbaroux est passée par le théâtre de rue et le cabaret, La Fabia s’est formée à la danse classique chez Béjart puis en terre flamenca auprès des plus grands.
Quant à Sarah Moha elle a enrichi son identité méditerranéenne d’autres cultures, notamment africaines. Sur scène elles offrent une danse hybride qui respire la joie de vivre et de défricher de nouvelles pistes de création. À l’Escale elles seront en résidence avant de donner leur spectacle.