Le chorégraphe développe huit tableaux, huit univers dans lesquels évoluent avec fougue treize magnifiques interprètes, qui se lèvent et qui dansent avant de rejoindre à nouveau le sol, comme rattrapés par la pesanteur. Scénographie dénudée, seulement habillée de mises en lumière. Angelin Preljocaj se focalise sur le mouvement pur. Ses choix musicaux sont audacieux : Bach, Daft Punk, ou les percussions d’Iannis Xenakis. Le tout est ponctué par une revisite du Boléro de Ravel, apothéose à couper le souffle de danseurs se mouvant à l’unisson.
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