Partir, c’est quitter le public, et surtout oublier les siens. Alors Antoine Duléry n’arrive pas à partir, et il se souvient avec nous de ses pères majestueux : les grands acteurs du passé mais aussi ses complices d’aujourd’hui.
Incarnant et imitant tour à tour Belmondo, Serrault, Lucchini ou Johnny, Antoine Duléry passe d’un personnage à l’autre, du théâtre au cinéma : Delon croise De Niro, Lucchini poétise avec Jouvet, Galabru dialogue avec Serrault...
Un souvenir entraîne une anecdote et, de digressions en bons mots, Antoine Duléry fait se croiser et se confondre réel et imaginaire avec une grande virtuosité et dans un rythme fou. Au gré de ces rencontres improbables naissent des situations jubilatoires, empruntes de tendresse et d’admiration.
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