Prendre pour point de départ, et pour point d’arrivée cette matière qui appelle l’absolu du vide. Aller contre la peur du vide, contre ce besoin de remplissage, qui peut parfois caractériser la pensée ou les arts occidentaux. Blanc comme… une présence-absence, la porcelaine. La gestuelle créatrice, artiste artisane, s’imprègne d’une certaine épuration des formes, là où la nudité, la suggestion suffisent. Dans ce vide, les multiples, les possibles peuvent danser. L’objet comme animé, devenu vivant, par sa mobilité, sa « respiration », incite à s’en approcher.
Cheminez d’un commerce à l’autre pour vous imprégner de son univers délicat et découvrir ses objets d’art.
Vernissage le 25 avril à 19h.