Printemps 1968, sous l’autorité de sa mère Claudine, Ferdinand, un peu cancre sur les bords, s’apprête à passer le bac. Mais, avec les révoltes étudiantes et syndicales qui bousculent le train-train d’une France très conformiste et sont sur le point de transformer le visage du pays à la fin du XXe siècle, il vit ce qui sera un des tournants de sa vie.
Philippe Caubère considère cette pièce comme le ressort caché de La Danse du Diable (vu au Liberté lors de la saison 2013).