Des doigts d'airain, un esprit surdoué et un tempérament habité par la musique : voici Nicholas Angelich. Admis au conservatoire de Paris à treize ans seulement, ses dons émerveillent les plus grands maîtres de cette prestigieuse école : Aldo Ciccolini, Yvonne Loriod, Michel Béroff, et le compositeur Olivier Messiaen, auquel il offre à dix-sept ans une interprétation remarquable de ses plus difficiles pièces pour piano.